Salut les mamanges,
Cette semaine j'ai été chercher la rapport de mon ti-homme Laurent et là je suis dans un états de rage, de peine et d'impuissance.
Le 15 mars prochaine sa fera 6 mois que mon Laurent est un ange, 6 mois de sa vie qui est loin de sa famille, 6 mois ses la moitié de sa première année qui aurait du être d'évolution constante mais la vie me l'a enlevé.
J'aurai voulu être la seule personne qui aurait dû le prendre, le soigner, le consoler enfin compte l'aimer. J'ai dû accepter que mon fils parte loin de moi a tout jamais, j'ai dû accepter qu'une personne l'examine de la tête au pieds même de l'intérieur pour savoir ce que mon ti-homme n'avait pas d'autre chose que les 4 tours de cordon, j'ai dû accepté que d'autre personne le mesure identifie ses blessure, sa couleur de yeux, que ses doigts et pieds était normal j'ai dû accepter. Après tout ses examens là j'ai dû accepter l'innacceptable une personne l'habil pour un dernière fois et le mettre dans sa petite tombe pour l'éternité.
Mais je n'ai pas encore vraiment accepté que tout ses actions soit fait par une personne autre que moi sa mère. La vie m'a obligé de laisser partir mon fils pour toujours et ça sans me laisser de réponse a mes question pourquoi lui et pas un autre qui souffre de tellement de façon qu'il serait mieux en petit anges que vivant et mal traité et mal aimé.
Moi de mon côté je demandais pas grand chose a la vie seulement me laisser mon Laurent avec sa famille. Je me sens primé, puni, blessé, meurtri dans mon coeur de maman. Nous connaissons tous un enfant que n'es peut-être pas apprécié a sa juste valeur mais lui je voulais juste lui donner le mieux de moi, l'amour, lui donner la confiance en lui , l'espoir d'un vie belle et jeureuse.
Avec se rapport je réalise plus encore que mon bébé est venu et parti aussi vite qu'une tempête. Il est venu nous dire un bonjours silencieux et nous dire qu'il nous aimait mais pourquoi lui, pouquoi nous avoir priver de son amour et de sa joie de vivre. Cet enfant était tellement en vie en moi il avait pas une journée ou il ne bougait par lorsque qu'on lui parlait le touchait en lui disant qui nous l'amions temps.
Ces parents qui ne prennent pas conscience que la vie peut les quitter si vite et sans nous avertir de l'heure et du jour, je leur en veux de ne pas prendre le temps de vivre avec leur enfant comme il le mérite tant.
J'ai encore un long chemin dans l'acceptation et le lâcher prise, il y a des jours ou je suis bien je lui dit bonjour et je l'embrasse sans larme mais depuis une semaine je suis là le coeur en morceau et me dire encore pourquoi lui et pas celui que les parents maltraite a tout moments.
Je t'aime mon Laurent et j'ai beaucoup de peine de pas t'avoir avec moi. Aide-moi mon grand car je n'ai vraiment besoin en ses jours très difficle pour ta maman qui se sent meutris et arrager pour un sent pitie pour nos petits anges.
Raymonde en peine de sion ti homme qui lui manque plus que tout au monde.