La naissance d’Amélia, mon petit espoir d’amour.

Après une menace d’accouchement prématuré à tout près de 29 semaines, je ne croyais pas pouvoir me rendre à 2 jours du terme de 40sa. Le repos a été plus qu’efficace! Tellement que ma crainte était maintenant qu’elle dépasse terme et que je doive avoir une autre césarienne, comme à ma première. Je tentais donc tout depuis la fin de mon repos complet pour essayer de faire maturer ça, ce col-là! Donc, tisane de framboisier, de la marche de temps en temps, beaucoup, beaucoup de câlins avec mon chum, acupuncture, deux strippings. Bref, tout pour essayer que ça décolle. Tout pour ne pas avoir de césarienne. Si je me rendais à 40sa, on prévoyait un rendez-vous pour une induction douce, probablement en perçant la poche et si ça ne marchait pas, c’était une césarienne. Mon dernier rendez-vous de suivi était prévu à 38 semaines et 5 jours, soit lundi le 28 novembre. C’est à ce moment qu’on devait choisir la date, après un dernier stripping. Mais par bonheur, la vie en a décidé autrement…

Samedi soir, j’ai commencé à avoir des contractions douloureuses, mais pas très fortes. Enfin, plus fortes que ce que j’avais eu jusque là, mais pas assez pour me dire que ça y était. Pas question d’aller en maternité et de me faire retourner à la maison. Ça avait fait ça une semaine plus tôt et je me suis dit que j’attendrais. Donc elles ont débuté en fin de soirée, mais pas super régulières. Elles se sont rapprochées tranquillement aux 5-7 minutes, mais j’ai pu dormir un peu. Une me réveillait de temps en temps tout comme les envies de pipi. Mais vers 4h, plus capable de dormir, elles étaient plus fortes et aux 4-5 minutes. J’ai décidé de prendre un bain vers 6h, ça n’a pas passé, mais dans le bain elles faisaient moins mal. Au bout d’une heure, je suis sortie, je me suis couchée et j’ai pu dormir un peu malgré les contrax pendant environ une heure. Puis en matinée, quand je me suis levée, elles se sont espacées, estompées en force et ont fini par cesser complètement.

Mes beaux-parents sont venus chercher ma grande pour l’après-midi. Mon chum et moi en avons profité pour aller magasiner quelques cadeaux de Noël. Mais avant de partir, on s’est payé un petit câlin pour la chance! Pendant qu’on faisait notre magasinage, j’ai eu quelques contractions ici et là, pas très fortes et pas régulières du tout. Puis, de retour à la maison, notre grande cocotte et mes beaux-parents étaient déjà revenus. Nous avons soupé et j’ai constaté que je commençais à avoir un peu plus de contractions. Nous avons passé la soirée en famille puis je suis allée coucher Naomie comme d’habitude et j’ai pris mon bain. Je suis revenue au salon et les contractions étaient comme au souper, présentes, un peu plus souvent, pas très fortes. J’ai pu regarder la télévision et avec mon chum, nous sommes montés pour nous coucher vers 22h. J’avais un peu plus de contractions, plus rapprochées, peut-être aux 5 minutes, un peu douloureuses. Comme d’habitude quand on se couche, Etienne me fais les étirements du périnée et comme souvent, je lui demande d’aller voir s’il trouve mon col pareil à la dernière fois qu’il l’a vérifié. Dans ce cas-ci, la dernière fois était le matin. Il a eu de la difficulté à le dire, mais il a dit qu’il semblait assez senblable en ouverture, mais plus court que le matin. À mon dernier rendez-vous de suivi de grossesse, le jeudi d’avant, il était à 2 cm et effacé à 50%. Je me disais donc qu’il était peut-être plus effacé. De toutes façons, j’allais le savoir le lendemain puisque lundi devait être mon dernier rendez-vous.

Peut-être une minute après que mon chum a touché mon col, mes contractions sont devenues plus douloureuses, et elles se sont rapprochées aux 3-4 minutes. Nous sommes restés à discuter malgré les contrax jusque vers 23h. À ce moment-là, elles commençaient à faire plus mal. J’ai décidé de me lever parce que c’était ça qui avait arrêté mon dernier épisode de contractions, donc je voulais voir si ça ferait pareil cette fois-ci. Etienne a décidé de me suivre au salon, incapable de dormir sachant que peut-être ça signifiait l’arrivée imminente de notre petite princesse. Une fois descendue au salon, j’ai décidé de rester debout un peu pour voir, les contractions maintenant aux 3 minutes top chrono faisaient plus mal que toutes celles que j’avais pu avoir jusque là. Anticipant que si on appelait en maternité, on nous demanderait de commencer par prendre un bain avant de venir pour voir si elles cessent, j’ai décidé d’y aller. Je suis montée, j’ai fait couler mon bain bien chaud comme je l’aime et je m’y suis plongée, laissant Etienne dans le salon. Je crois qu’au bout de 15 minutes, je n’en pouvais plus d’être dans ce bain à ne pas bouger et qui était loin de me soulager. Je suis donc sortie, j’ai commencé à me sécher vite vite et maintenant à chaque contraction, je devais me tenir à quelque chose parce la douleur était plutôt intense. Je la sentais dans le bas du dos, au niveau du rectum/anus, dans le bas du ventre et jusqu’à l’urètre. Ça faisait mal partout quoi! Je suis descendue, et j’ai dit à Etienne qu’il fallait aller en maternité absolument. Je lui ai dit que si ce n’était pas ça, il fallait qu’ils me donnent quelque chose pour me soulager parce que c’était certain que je ne pourrais pas dormir ainsi. Nous sommes donc montés pour nous préparer. Et c’est lui qui a téléphoné pour aviser de notre arrivée parce que moi, j’étais hors service! Il a aussi téléphonné sa mère pour qu’elle vienne garder Naomie. Par chance que mes beaux-parents habitent à 10 minutes de chez nous! Nous avons finalisé les bagages pendant que belle-maman s’en venait. J’avais l’impression que les contractions étaient peut-être un peu plus rapprochées encore, mais pas trop le moral à calculer. Je devais toujours m’accrocher à quelque chose à chacune.

Ma belle-mère arrivée, nous sommes partis aussitôt. Nous restons très près de l’hôpital, heureusement pour moi! Rendus à l’hôpital, j’ai décidé de ne pas me faire débarquer à la porte, mais plutôt de marcher depuis le stationnement jusqu’à l’intérieur. Mais ce ne fut pas de tout repos. J’ai dû m’accrocher à Etienne plus d’une fois! Je me souviens même lui avoir dit une fois ‘’Ça fait pas déjà 3 minutes, ça fait vraiment moins de 3 minutes, hein?’’ J’avais eu le temps de ne faire que quelques pas il me semblait. Mais nous y sommes arrivés, en haut, en maternité. Il devait être autour de 1h00. J’ai donné mes cartes à l’infirmière de l’accueil, elle nous attendait, j’étais la seule en évaluation. Elle m’a donné la jaquette d’hôpital et demandé de faire un petit pipi dans le pot. J’y suis allée, ouf, c’était pas facile… J’ai eu plusieurs contractions, je me tenais sur le mur. Disons qu’aux toilettes, t’as pas envie de toucher à tout! Et j’arrêtais pas de roter mon spaghetti du souper… Je commençais à le regretter d’avoir mangé ce spag! Ma crainte à ce moment était de vomir. Vomir, j’ai ça en horreur! Je vous dis, ça me faisait plus peur de vomir que de déchirer!!! Mais j’ai continué à roter et j’ai pas vomi.

De retour à la salle d’évaluation, elle m’a rapidement branchée au moniteur. Elle devait le laisser un bon moment comme j’étais là pour un AVAC (accouchement vaginal après césarienne), il fallait voir comment mon utérus réagissait aux contractions en plus de voir leur fréquence et durée ainsi que le petit cœur de ma cocotte. Tout allait bien côté moniteur, mon utérus relâchait bien entre les contractions, un bon petit cœur et les contractions étaient maintenant aux 2 minutes et parfois une se rajoutait collée à la première. L’infirmière a vérifié mon col. Lui qui était à mon dernier rendez-vous à 2 cm et effacé à 50%, il était maintenant ouvert à 3½ cm et effacé à 80%. Il n’y avait donc pas de doute, c’était bien un travail actif, surtout considérant ce que mon chum avait senti en touchant mon col. J’avais vraiment de plus en plus mal. Elle m’a demandé si j’avais l’intention de demander éventuellement l’épidurale. J’aurais voulu ne pas la prendre avant un bon bout, mais la douleur était si intense et les contractions si rapprochées que j’ai dit oui et le plus tôt sera le mieux. J’avais aussi la crainte de devoir aller en césarienne et de devoir avoir une anesthésie générale si je n’avais pas déjà la péri. Elle m’a répondu qu’elle verrait avec le Dre Frégeau qui était de garde pour ma clinique si elle acceptait de me la donner si tôt. Elle m’a expliqué que la péri pouvait ralentir un peu le travail et comme ils ne pouvaient me donner de synto pour stimuler les contractions, des fois les docteurs préfèrent attendre un peu pour la donner. Mais elle m’a fait les prises de sang pour vérifier si je pouvais la recevoir avant d’appeler la doc. Ces prises de sang sont bonnes deux semaines et les miennes dataient de deux semaines et 1 jour!!! Mais bon! Elle a appelé Dre Frégeau et elle a accepté que je la reçoive dès l’arrivée des résultats. Aussitôt les résultats arrivés, ce fut assez rapide, l’infirmièr m’a amenée à ma chambre pendant que mon chum allait faire mon admission et chercher nos bagages dans la voiture.

Arrivée à ma chambre, l’infirmière a appelé l’anesthésiste qui par bonheur n’était pas surchargé. Mon chum est arrivé avec nos bagages et le résident anesthésiste peu de temps après lui. Il m’a bien expliqué la procédure ainsi que les risques, pendant que l’infirmière préparait mon dos. Ensuite, il a procédé. J’ai eu l’impression que ça durait depuis une éternité, mais j’étais pas mal bonne pour ne pas bouger malgré les nombreuses contractions et leur force. Malgré le temps que ça a pris, j’ai trouvé le résident vraiment bon. Il travaillait entre mes contractions, m’expliquait bien ce qu’il faisait et ce que je pouvais ressentir. Il était très doux et compréhensif de ma douleur. Ça s’est très bien passé. Ensuite, j’ai dû m’allonger, il m’a donné le bolus et j’ai dû attendre que ça fasse bien effet. Une quinzaine de minutes plus tard, je retrouvais le sourir même si je ressentais toujours les contractions au niveau de l’anus, mais elles ne faisaient plus mal. L’infirmière a revérifié mon col dès que j’ai ressenti les effets de la péri et j’étais déjà à 6½ cm. Il devait être rendu près de 3h00 du matin. Elle a rappelé le Dre Frégeau qui était chez elle pour lui demander de s’en venir vu la bonne progression du travail. Mon infirmière m’a été assignée, Cynthia. J’étais vraiment contente que ce soit elle. Elle est la fille de l’ex-femme de mon père. Toute mon enfance, lorsque j’allais chez mon père, je l’ai vécue avec elle. Elle était plus vieille, mais je l’aimais bien. Et là, c’est elle qui allait s’occuper de moi pour mon accouchement! Ne ressentant plus la douleur, nous avons discuté un peu jusqu’à ce que Dre Frégeau arrive. Lorsqu’elle est arrivée, elle a revérifié mon col. Il était déjà à 8cm! Ça faisait un petit moment que j’avais recommencé à sentir les contractions. Elle a décidé de partir la perfusion de la péri et de percer la poche. Immédiatement après que le déluge soit passé, les contractions étaient redevenues insupportables. La péri fonctionnait pour mes jambes, je ne sentais pas le froid jusqu’entre les seins, mais au niveau de l’utérus, elle ne fonctionnait pas du tout! Ça faisait tellement mal. Je ne pouvais pas bouger à cause de mes jambes trop affaiblies par la péri, j’endurais mon mal à grands coups de respirations…

Dre Frégeau a aussi décidé de vérifier la position du bébé. Ma grande était placée la tête en bas, mais pas orientée de la bonne façon. Elle avait le petit nez en l’air au lieu de vers ma colonne. C’est pourquoi elle descendait mal puis qu’elle s’est bien fatiguée pendant la poussée, ce qui a mené à la césarienne d’urgence. Nous espérions donc qu’Amélia soit mieux positionnée. Et non, pas mieux positionnée, exactement pareil! Mais Dre Frégeau s’est faite rassurante en me disant qu’elle semblait plus petite que sa grande sœur et que contrairement à Naomie, elle était bien descendue, bien appuyée sur mon col. Il fallait donc essayer de la faire se retourner en me tournant un peu à gauche, puis un peu à droite, puis encore à gauche, etc, à raison d’une quinzaine ou vingtaine de minutes de chaque côté. Après un côté et demie, j’avais tellement mal dans ces positions, Dre Frégeau a revérifié et elle s’était tournée presqu’à la moitié. Il me restait une mini bande de col et j’étais environ à 9½ cm. Elle m’a demandé si je voulais essayer de pousser un peu et qu’elle essaierait de finir de la tourner. Donc, je poussais et elle en maintenant la tête d’Amélia, elle essayait de la faire tourner. Après quelques poussées, elle y était arrivée! Un peu après, j’étais complète, on pouvait commencer à pousser pour vrai! Il était 4h45.

Alors, c’est à ce moment que j’ai commencé à avoir moins mal. Façon de parler parce que les contractions étaient tellement insupportables, j’avais terriblement chaud malgré les débarbouillettes que Cynthia changeait régulièrement. Quand je poussais, ça faisait du bien. Bon, c’est une autre façon de parler parce que ça faisait vraiment mal pareil, mais de façon différente. C’était mieux et je sentais que la fin allait arriver un jour. Cynthia m’a proposé le miroir. Je ne savais pas trop, j’étais trop secouée par la douleur pour répondre de façon claire. Bizarre, parce que bien sûr que je le voulais! Je l’avais voulu à Naomie et je l’avais oublié. Mais j’ai fini par dire oui. Quel coup de génie elle avait eu de me le proposer! J’avais Cynthia à ma gauche, Dre Frégeau et le miroir devant moi et mon chéri à ma droite. Cynthia et Etienne me supportaient les jambes à chaque poussée et ils m’encourageaient à pousser bien fort. C’était gentil, mais ils m’énervaient! J’avais juste envie de leur dire de la fermer, mais je n’en avais pas la force. Faut croire que je gardais mes énergies pour pousser. Mais le miroir, c’était lui mon meilleur motivateur, mon meilleur ami. Bien silencieux, le vrai reflet de ce qui se passait. Moi qui poussait les yeux fermés avant qu’il ne me renvoit les images de mon coin le plus intime, je poussais maintenant en le regardant les yeux bien grands ouverts. J’avais tout mon focus au même endroit, pas question que je manque un cheveux. Je poussais, je poussais quand on a commencé à vraiment voir le dessus de sa tête. Oh! La motivation! Mais je me disais en même temps, j’espère que ça achève parce que j’en peux plus. Et là, je me suis même mise à me dire que si je devais avoir une césarienne, il fallait que ce soit là, là! Mais cette idée s’est vite éclipsée de mes pensées. Le temps m’a paru bien long pendant la poussée, mais j’étais très encouragée de la voir s’avancer doucement. Dans le peu de temps de pseudo-repos entre les contractions, je me disais ‘’Faut pas qu’elle remonte, faut pas qu’elle remonte!’’. Et là quand on a commencé à voir encore plus de tête, j’ai décidé que c’était fini de pousser en moumoune, même si Dre Frégeau me disait à chaque poussée combien je poussais bien. Alors, j’y ai mis la claque!

Près de la Grande Sortie de ma fille, entre deux poussées, Dre Frégeau est venue s’asseoir à côté de moi pour m’expliquer la suite. Elle m’a expliqué que quand la tête d’Amélia serait sortie, il me faudrait arrêter de pousser pour qu’elle vérifie que le cordon n’est pas autour de son petit cou et qu’après, je pourrais la faire sortir. Elle m’a aussi dit que lorsqu’elle serait sortie, si elle a un problème, elle l’apporterait sur la petite table juste à côté de mon lit pour la soigner, mais que si tout allait bien, elle me la poserait direct sur le ventre, qu’on lui couperait le cordon et qu’on la laisserait là, bien au chaud sur moi tant qu’on le voudrait pendant qu’elle s’occupe de faire sortir le placenta et de me ‘’réparer’’ si besoin est. Ensuite, elle viendrait vérifier son cœur et ses poumons, mais que pour le reste de l’examen, ça pourrait attendre dans le courant de la journée, après qu’on ait bien profité de notre petit trésor. Alors, elle s’est remise devant moi et j’ai continué à pousser bien fort. Elle m’avait dit que malheureusement elle me cacherait surement la vue lors de la sortie de ma poulette, mais non! Sa petite tête est sortie, je me suis retenue de pousser le temps de vérifier que son petit cou était tout beau. C'est donc le 28 novembre avec une autre belle poussée pour le reste de son petit corps que ma belle Amélia est née. Je l’ai toute vue sortir de moi, quel bonheur! Comme à ma première, je n’ai pas pu pleurer, pas une larme. Mais qu’est-ce que j’étais émue! Elle était là sur moi, Cynthia enlevait les sécrétions dans son petit nez et sa bouche. On l’entendait râler, mais pas pleurer. Une fois la bouche et le nez tous bien nettoyés, un petit mini cri, on aurait plus dit un miaulement et puis plus rien, juste une belle respiration douce et tranquille, un petit corps tout chaud contre le mien, de beaux yeux qui me regardent. Je me souviens avoir demandé si c’était bien une fille, on ne sait jamais… Puis après quelques minutes, elle s’est mise à gigoter jusqu’à mon sein, s’y est bien accrochée et a bu et tété pendant tout le temps qu’a duré ma ‘’reconstruction’’, donc très longtemps!

Mon chum et moi étions tellement heureux de l’avoir enfin dans nos bras. Mon AVAC était réussi, j’avais pu la voir sortir, ma fille semblait en pleine forme, que demander de plus? Quand elle a eu fini de boire, j’ai pu l’observer bien attentivement. J’ai vérifié ses petits pieds, ses petites main, ses cheveux, son doux visage. Et c’est là que j’ai vu le beau cadeau de mon Gabriel. Il a déposé une petite étoile au-dessus du coin droit de sa lèvre supérieure, entre le coin et son nez. Un petit émangiome en forme d’étoile. Quand je la regarde, je pense à mon petit homme qui a bien veillé sur nous pendant cette grossesse. Malgré les inquiétudes qu’on a eues, c’est comme s’il me disait ‘’Tu vois maman, je suis là, je veille sur vous, tout va bien.’’ Je lui en suis tellement reconnaissante. Je l’aimerai toujours autant, même avec la venue de sa petite sœur, mon amour pour lui ne cesse de grandir. Il restera toujours mon fils, tout comme Naomie et Amélia sont mes filles.

Une fois ma ‘’reconstruction’’ terminée, Dre Frégeau est venue examiner le petit cœur et les poumons d’Amélia et tout allait très bien. Un peu plus tard, on l’a pesée et mesurée. Notre petite cocotte espoir faisait 7lb 8oz (3.405kg) et 19po (49cm). C’est un amour de petite fille qui me comble. Elle boit bien, dort bien et ne pleure que lorsqu’elle a vraiment très faim. Autrement, elle grogne pour faire ses cacas ou rots ou encore quand elle commence à avoir faim. Elle a une petite voix, contrairement à sa grande sœur qui avait bien du coffre! Probablement qu’avec sa venue, ça terminera notre famille, ça reste à voir. Mais quel bonheur d’avoir pu connaître l’espoir et d’avoir enfin ce petit corps tout doux et tout chaud avec moi!

félicitation encore, superbe récit. vous êtes beaux avoir tous ensembles!

Félicitation pour la belle petite puce!! Tu as vraiment une belle famille!!

karine! xxxx

felicitations maieve

profite bien d'Amélia

Quel beau récit ! Félicitation aux parents et bienvenue à Amélia !

super récit maieve ,j'ai tellement hâte d'avoir mon bébé espoir dans mes bras...

vous etes trop beau, et belle accouchement.
bienvenue a Amelia!!!!!

Super récit, tu me donnes espoir..

Ta petite Amélia est tellement belle, on dirait une poupée !!

Merci à toutes!

Si ça peut te donner espoir Alexe, j'en suis très heureuse!

Félicitations Maieve, ta puce est vraiment très mignonne. Ouf j'ai hâte que ce soit mon tour, mais pas tout de suite Smile

. Bienvenue à Amélia!

felicitations

Merci les filles!

Voici ma petite Amélia qui nous fait de plus en plus de petits sourires à même pas un mois! C'est une vraie petite perle, un amour de bébé.

La naissance d’Amélia, mon petit espoir d’amour. Img_3117

La naissance d’Amélia, mon petit espoir d’amour. Img_3117

La photo est pas cadrée parce que c'est moi qui l'ai prise avec Amélia dans mes bras.

Ta puce est tellement belle, c'est beau de voir un bébé sourire.
Et joyeux anniversaire à toi.
Douce pensée pour ton petit ange Gabriel et ta belle princesse Amélia

Félicitations pour ton beau bébé!!! Une belle puce souriante et en santé, quoi demander de plus!!

Félicitations chère Marie-Ève!!! Je n'avais pas allumée! (disons que je sors rarement du seul post que je suit) hihi!

UN GROS FÉLICITATIONS pour ta belle Amélia!! Superbe!! En effet, ça donne espoir!!!!

Merci de partager!!!

Blanche xxx

Un an pour ma poulette aujourd'hui!!! C'est fou comme le temps peut passer parfois!

un gros bisous a ta grande cocotte !

un très bon anniversaire pour Amélia.

C'est fou, DEJA 1 an...
Une longue vie pleine de bonheur pour toi jolie princesse I love you

» Maxence, mon petit amour, mon petit ange, parti trop tôt...
» Mon petit Félix, mon petit prince d'amour, ta maman t'aime...
» mon petit loup d amour toi mon petit tyler
» valentin messager d'amour et d'espoir
» Lia.....mon amour, mon espoir.....ma plus grande fierté.