qui a du laisser partir son bébé apres la naissance

car des fois je me sens coupable

coucou miss

que veut tu dire par là ?



Moi j'ai laissé mon petit canard à la charge de l'hopital... énorme connerie de ma part... courage



ludivine

Je te comprends tellement...
On se sent impuissantes de ne pouvoir sauver notre enfant, mais ne crois-tu pas que tu as fait le mieux pour lui?
Je me suis sentie coupable aussi lorsque j'ai du laisser partir Mathilde, d'autant plus qu'elle est partie seulement au bout de 12 jours de soins de confort, je me disais qu'il y avait un signe, qu'elle voulait rester mais avec le temps j'ai compris que c'était pour nous laisser le temps "d'accepter" son départ déjà si précipité.

Déjà en mettant au monde un enfant, un sentiment de culpabilité survient car on a peur de pas être une bonne mère, la en plus on doit choisir entre la vie et la mort de son propre enfant.
Le départ de ton fils est si récent! Il faut te laisser le temps "d'apprivoiser" le vide et le fait qu'il n'est plus là...

J'aurais beau te dire n'importe quoi, le sentiment de culpabilité, c'est dans ta tête seulement que ça doit se régler. Ce n'est pas facile, mais tu en viendras à ne plus avoir ce sentiment. C'est un travail long et difficile mais...on y arrive.

Bonne chance
Marie xxx

Moi, j'ai dû accepter de le laisser partir.



Quand mon bébé a fait son arrêt cardiaque, il était aussi pâle qu'en chambre mortuaire 5 jours plus tard, si froid déjà, son sang dans la bouche, sa non tonicité et son teint m'ont fait comprendre à la seconde que ma vie était bouleversée...

Et ce même si en appellant les secours, en faisant son massage cardiaque, en entendant la pédiatre du samu pédiatrique me dire après 4O mn d'arrêt et 3 camions de personnes formés pour le sauver...que son coeur était enfin repartis...qu'ils lui cherchaient une place dans l'un des deux meilleurs hopitaux pour enfants de Paris.

Dans l'ambulance, même si j'espèrais tellement fort qu'il vive que je me raccrochais aux paroles de l'amubulancier...que si nous étions en chemin, c'est qu'il y'avait un espoir..je n'y croyais pas vraiment...le pronostic vital était en jeu et s'il vivait il aurait de très lourdes séquelles.



Deux jours après, après 3 électro-encéphalogrames sombres (pour ne pas dire plat), mon bébé n'avait aucune chance de vie correcte, il aurait été sous respirateur toute sa vie, n'aurait pas pû s'alimenter, aurait été un complet légume...Les médecins m'ont simplement dit qu'il aurait trop de séquelles vu le temps d'arrêt de son coeur qui n'a pas pû oxygéner son cerveau et ses céllules, plusieurs autres organes étaient touchés (rein, foie) mais ça c'est pas ce qui m'inquiètait, c'est de la gnognote, un souci de rein ou de foie comparé à un cerveau ne fonctionnant plus...le cerveau, y'a pas de solutions même en 2011... Et m'ont dit qu'ils ne pourraient pas savoir quels parties seraient atteintes puisque son cerveau était encore très petits mais que ce serait très lourd. De plus, il était en comas très profond, le scanner révélait plein d'oedème dans son cerveau...



Bref, j'ai été d'accord avec les médecins qui étaient 5 à être en accord. Il fallait laisser partir mon bébé "ce" week end, (nous étions jeudi).

J'ai dis au médecin que je serai raisonnable, que je l'aimais plus que tout.

Par amour, j'ai donc accepté l'innacceptable, la psy m'a dit après que les mamans qui sont d'accord les plus "vite" à laisser partir leur enfant sont celles qui ont investi le plus leur enfant...



En revanche, je lui ai expliqué tonnes de fois...qu'il ne pourrait jamais faire çi, ça, que les médecins étaient tous d'accord pour le dire et que parce que je l'aimais, j'étais d'accord avec eux...j'ai vraiment eu l'impression de me justifer auprès de lui et ça m'a perturbé...

j'en ai parlé à la psy en chambre mortuaire ensuite, elle m'a dit que de toute façon, ce n'est pas "moi" qui avait pris la décision, que les médecins ne lui aurait pas permis de vivre mais qu'ils voulaient m'amener dans un cheminement...cela m'a enlevé un peu de cette culpabilité dont tu parles...



Je me sens encore coupable de ne pas avoir sû le protéger de la mort même si cette pensée est ridicule, de ne pas avoir compris plus vite qu'il était en arrêt cardiaque, (je le croyais endormi contre mois dans son écharpe contre son sein qu'il venait de lâcher), coupable de ne pas avoir fait sufisament bien le massage cardiaque (peut être) car je ne l'ai pas déshabillé, et au début je l'ai fait sur le canapé qui est un plan mou avant de changer pour la table basse...Coupable de ne pas avoir pressenti que mon bébé était en train de mourrir de la mort subite du nourrisson...



Tu sais la culpabilité est normale et comme le dit si joliment marie7, cela se passe avec ta tête...je pense qu'un suivi psy aide...à conscientisé certaines choses, à s'appaiser de certains maux...



Et toute mère se sent coupable à un moment donné ou à un autre...ma psy m'a dit qu'à partir du moment où l'on mettait au monde un enfant, on l'expose à la mort...dans nos cas, c'est tellement intolérables car nos bébés sont morts.



Plein de courage à toi, plein de pensée vers ton bébé et tendres calins à mon amour de bébé.

Je te comprends parfaitement.
Pendant ces 45 jours, j'me suis battue avec les néonatalogistes en leur disant que je ne débrancherais jamais mon Logan, qu'il se battrait jusqu'au bout, qu'il en sortirait fort et que je savais que plus tard il allait faire des folies avec papa dans mon dos, j'le visualisais parfaitement...

Tous les jours, je faisais des recherches sur Internet, cherchant des médicaments contre l'hypertension pulmonaire, contre la dysplasie broncho pulmonaire. Je me suis rendue folle avec ça, j'arrivais avec ma liste le matin super fière pensant que j'avais trouvé le remède miracle..ce n'était pas le cas, mais j'avais espoir. Cet espoir qui nous fait respirer et procure ce sentiment de fierté..

Le 23 juin, l'hôpital m'a appelé pour me dire que c'était la fin, nous avons passé 36 heures d'affilées présent avec Logan pensant que ce n'était qu'une fausse alarme comme les dernières fois.
C'est moi qui a décidé d'enlever le petit tube qui le maintenait en vie.. ses petits pieds rendus mauves car sa saturation était tellement basse que j'ai arraché les petits bracelets..

C'est moi qui a décidé d'enlever la vie à mon fils, si tu savais la culpabilité qui est sur mes mains, elles sont tâchées de sang..

Tout ce que l'on veut c'est que la petite vie qui a grandi en nous s'épanouisse comme on a pu le faire.. mais l'impensable nous fait face... Je crois que c'est tout à fait «normal» de se sentir coupable... souvent j'aimerais qu'on me dise que c'est de ma faute, que quelqu'un comprenne la situation, qu'il sache comment je vis tout cela..

Le temps, tout le monde le dit aussi.. le temps aide, mais c'est long je te l'accorde..

Je t'envoie du courage chère maman et j'ai de tendres pensées à ton petit prince..

désolée j'etais à coté de la plaque



je partage vos souffrances meme si je ne suis pas passée par là...



courage à vous toutes



bisous



ludivine

Comme je te comprends.
Lia s'est battue 6 mois et 3 semaines contre sa maladie. J'ai vraiment cru que ca irait mieux.
Mais on a du accepter les soins palliatifs. La désintuber pour ne plus faire de réanimation et la laisser partir.
Et longtemps je me suis demandée si j'aurais du me battre pour la maintenir en vie. Si j'aurais du refuser de la laisser partir....
Parce que PEUT-ÊTRE.....parce que SI, parce qu'on ne sait jamais! Et si j'avais fait le mauvais choix? Et si j'avais abandonné trop vite?
Et si elle aurait voulu autre chose?
Chaque fois que je vois les médecins pour avoir l'évolution des tests (résultats d'autopsie, Test ADN, etc), je leur demande si j'ai fait le bon choix.
Je leur dit que j'ai peur de m'être trompée. Et chaque fois ils me disent la même chose: On ne pouvait rien faire de plus!
Je m'accroche au fait que ma petite poupoune aurait surement souffert. Je me dis que c'est elle qui m'a soufflée la réponse.
Je me dis que chacun de ses arrêts respiratoires étaient une demande de plus pour partir.
Nos enfants ont étés forts, ils se sont battus mais ont aussi souffert. Et cette décision nous l'avons prise par amour.....ca c'est certain!!

j'ai lu vos histoires c tellement triste



c tellement douloureux perdre son bébé

je pense a lui il me manque:cry:



nous sommes allés chercher ses cendres hier

Mon petit amour c'est battu pendant 41 jours comme un champion. Tout les jours, je restais près de lui du matin très tôt jusqu'à très tard dans la nuit, à lui parler, lui chanter des chansons, le bercer en peau en peau lorsque c'était possible. J'ai tellement prié pour qu'il s'en sorte, j'ai tellement espéré qu'il puisse vivre une vie normale, qu'il puisse revenir avec nous à la maison. Nous avons dû prendre la décision de le débrancher, de le laisser partir. Oui, je me sens coupable et les si me hante encore aujourd'hui. Par contre, ce qui m'apporte un peu de réconfort c'est qu'il est décédé en quelques secondes seulement. Il n'a pris aucune respiration, je me dis alors que son petit coeur et son petit corps n'en pouvaient plus. Katou a entièrement raison "nous l'avons fait par amour" même si ça été la décision la plus difficile de notre vie. Je t'aime à l'infini mon petit Malic.

a voir vos message je me rends conte que je ne suis pas seule a me demander toute sorte de question sur le fait davoir debrache ma fille .. la culpabiliter est un petit mots a cote de ce que je peut resentire ..dsion que je nest pas eu le choix car son coeur etais si faible et meme si jaurais pas voulue ellle que elle sent aurrais sortie au prochant debranchement elle aurrias faite pareill son coeur avais de la dificulter a fonctionne sans le machine que laidais a respire .. le greffe de coeur netais pas envisagable ... con coeur etais beaucoup trop faible et comme le medecin nous a dit son filage etais en spagatie ,, il nous on amener dans un bureaux pour nous expliquer la sitation mais que je suis rente dans sa chambre je nest pas de misere a comprendre ce qui allais arriver nous avont eu le temp de la fai batiser au hopital et quand linfirmier est venus car je venais de lui donner mon accord elle a sculter son coeur e cetais deja fini elle na pas souffer ,, avais laide de linfirmier on lui a enlever sais tube et tous le quite ,,,,,

je les pris dan smes bras je vous dit pas ma peine a ce moment sais indescriptible je conprends pas a vous comment sa peu arriver chaque nuit sais tellement difficile ...je men veux je laime tellement cetais ma filles et javais dit a mon fiancer que au moin personne me pourais menlever ma fille car elle atais a moi .. des parole dit tellement vite je laime plus que tous au monde ..

je n,ai jamais perdu de bébé dans mon ventre

mais l'avoir vu evoluer pendant presque 2 mois avec de l'espoir ert apprendre a la fin qu'il ne pourront rien faire



dans la courte vie de mon bébé le + difficile a été la journée ou moi et mon conjoint avons decidé de le laisser partir ca été horrible terrible je n'ai pas de mot



perdre son bébé c deja beaucoup mais avoir a prendre la decision c'est inhumain je voulais le le garder mais ca aurait été tellement egoiste de ma part je pouvais et ne voulais pas lui donner cette vie la:(

Lorsqu'il y a une décision a prendre, il y a tjrs une raison d'etre obligé de.. et peut importe la décision qu'on prend.. ce ne sera pas une décision gagnant pour ceux qui ont eu à la prendre... parcontre ce sera une décision gagnante pour l'ange qui est impliquer.... donc en tant que parent on prend tjrs la decision avec tout notre amour... ne vous sentez pas coupable de cette décision..

ma fille Lorena s'est accroché 22jours avant que l'on la désintube et qu'on lui administre les medicaments pr s'endormir a jamais... c un moments qu'on oublie jamais, on se pose tjs milles questions, on retourne les differents scenarios des dizine de fois ds nos tetes... mais on ne peux plus rien y faire...
La seule chose que je me dit, c que nous avons pu la caliner, changer, embrasser... pendant ces trois semaines et d'avoir de belles photos d'elle "vivante" pour nous mais surtout pour sa soeur jumelle Callista...
Ceci dit, je pense que la culpabilité de pas avoir "tout tenté" me hantera tte ma vie...

Nancy,

Tous les parents ici qui ont eu à prendre cette décision sont passés par cette phase de culpabilité.
A-t-on tout tenté?

Et si c'était une erreur de diagnostic?

Et si on avait accepté de vivre avec le handicap?
Bref nous sommes toutes passées par là...

Le diagnostique de Zoé est tombé alors qu'elle réagissait de mieux en mieux au monde extérieur et surtout à nous ses parents.
Elle nous regardait fixement, suçait sa tetine, ne grimaçait pas, serrait nos doigts, mangeait bien, respirait presque seule,et nous savions qu'aucun organe vital n'était lésé.
Oui Zoé aurait peut-être pû vivre à long terme, mais dans quelles conditions?
Aurait-elle pû marcher? probablement pas
Aurait-elle pû parler? On ne sait pas
Aurait-elle compris? certainement pas
Aurait-ele été autonome? Non
Alors de là la question s'est posée, Avons nous envie de cette vie pour notre fille que nous aimons? Non
Avons nous envie de voir ces regards (si elle avait de la conscience) se poser sur nous en nous demandant pourquoi elle n'atait pas comme les autres petites filles? Non

Avons nous envie la triballer dans tous les services médicaux, lui faire subir une batterie d'examens à vie? Non
Et si elle survivait...Comment expliquer à son grand frêre qu'il n'aura plus jamais une vie d'un enfant de son age?
Donc oui c'est une décision difficile, la plus difficile à prendre, la plus cruelle aussi...mais avec tout l'amour que nous portons à Zoé nous l'avons prise.
Longtemps je me suis dis "et si les docteurs s'étaient trompés dans le diagnostique" "et si le handicap n'était pas si lourd", mais le diagnostique a été pris par un collège de neuropédiatre d'un grand hôpital parisien et tous ont donné le même avis.

Aujourd'hui je ne regrette pas la décision, je regrette ce qui est arrivé à Zoé, ce malheureux accident qui nous a obligé à prendre cette décision.
En revanche, je suis infiniment reconnaissante à Zoé de s'etre battue avec autant de force et avoir pû ainsi nous offrir ces 12 jours ou nous avons pû la connaitre, la voir, la sentir, la caliner, l'embrasser et lui parler.
Je ne saurai jamais exactement d'où vient cet accident, j'aurai toujours des questions sans réponses, mais je sais une chose, c'est que c'était la seule décision à prendre, par amour pour Zoé, par respect pour elle, par respect pour sa dignité d'être vivant.

c tellement vrai ce que tu ecris

eliotzoé


Elle nous regardait fixement, suçait sa tetine, ne grimaçait pas, serrait nos doigts,,et nous savions qu'aucun organe vital n'était lésé





a part ses 2 la pour nous




mangeait bien, respirait presque seule

C'est la décision la plus terrible qu'on puisse prendre dans une vie.



Mais nous l'avons toutes prise pour le bien être de nos petits anges. Leur vie là où ils sont est meilleur que la vie que nous ne pouvions plus leur offrir.



Douces pensées

Je ressens exactement la même chose que toi eliotzoe, je ne regrette pas d'avoir pris la décision de laisser partir Laeticia, je suis fâchée contre la vie qui a fait en sorte qu'un accident vienne tout briser. Pourquoi faire mourir un bébé en si bonne santé? Elle ne méritait pas cela!
Ça m'a aussi brisé le coeur qu'elle se batte pour vivre pendant 5 jours. Peut-être que plus tard je le verrai comme un beau cadeau qu'elle m'a fait mais pour l'instant, je suis triste de savoir qu'elle voulait vivre et qu'on n'a rien pu faire pour elle. Sa petite vie a été si difficile! J'aurais tout donné pour souffrir à sa place.
Beaucoup de courage à toutes et plein d'amour à nos petits anges...

Bonjour,

C'est horrible d'accompagner son enfant dans la mort.

On pense avoir "choisi" mais en fait on a rien choisi et surtout pas le maladie de nos enfants. En fait ce soit disant choix me rend encore plus coupable. Je ne sais pas s'il est possible d'accepter cette injustice un jour.

Laurence

cheres mamans,

je n'ai pas eu à choisir car mon bébé était mort avant sa naissance mais je vous envie presque car vous avez pu partager qq moments avec votre bébé, croiser son regard et sentir sa petite main serrer votre doigt !

la vie m'a privé de ces moments avec mon bébé et apèrs l'avoir attendue 40s, quelle frustration !

perdre un bébé est trop injuste... finalement, aucune situation n'est enviable...

Nous avons du nous aussi laisser partir Robin après 2 jours de vie. Il est né a 26SA et il a fait une hémorragie cérébrale.
Avant de le débrancher, nous avons fait un baptême avec ses papys et mamys, parrain et marraine, tonton et tata. Chacuns d'entre eux on pu lui dire au revoir.
Et son papa et moi avons passés un moment avec lui.

Je regrette beaucoup de choses aussi, comme de ne l'avoir pas accompagné jusqu'à la chambre mortuaire.
Mais au niveau de notre décision, je ne regrette rien car nous avons pris une décision de parents. Nous ne voulons pas voir notre enfants souffrir.
C'est juste qu'on espérait qu'il irai mieux.

Courage a toi

Noélie est restée parmis nous 4 petits jours, dans un coma artificiel, en hypotermie, avec des electroancéphalogrammes plats, un IRM tellement mauvais que le radiologue n'en avait jamais vu de pareil.

Même si nous avons du donner un accord écrit aux médecins, la décision de débrancher Noélie a été prise par la nature. Noélie n'aurait pas pu vivre, même avec les machines.

Je ne me sens pas coupable. Juste victime d'une injustice pour ma petite étoile filante. Elle n'a jamais senti notre amour, notre présence, nos caresses et nos baisers.

Je n'ai pu la prendre dans mes bras qu'une fois, quelques minutes avant qu'elle ne mette ses ailes d'ange. Je n'ai jamais vu ses yeux ouverts, pas un sourir, pas un cri. Pourtant, elle n'était atteinte d'aucune maladie, aucune malformation. Tout devait aller très bien pour elle. Son cerveau a été privé d'oxygène et tout s'est cassé dedans.

Nous avons eu la responsabilité de parents et nous avons tous pris la meilleure décision pour nos bébés, avec tout l'amour et malgré le chagrin. Il n'est pas question d'égoïsme, ni de baisser les bras trop tôt. Il est question de respect et de responsabilité. Nous aimons nos bébés, quelque soit le choix que nous avons fait. Ils sont fiers de nous et nous remercie à leur façon, dans un rayon de soleil, dans une étoile qui brille plus fort, lors d'un moment plus doux dans notre quotidien, lorsque nous les retrouvons dans un moment d'intimité.

Mon étoile filante, tu es avec moi à chaque instant. Je t'aime ma Noélie.

Comme c'est bien dit Julie... je m'identifie tout à fait à ce que tu as écrit. L'injustice de voir mourir un bébé en si bonne santé! Quand je commence à y penser, j'ai envie de tout détruire autour de moi en criant à la vie d'aller se faire voir. Comment peut-on faire cela à de si jolis petits bébés...?!

Deja 3 mois

il me manque mon petit poussin

j'ai lu les derniers ecrits ca faisait un ptit bout que j'etais pas venu

j'espere que vous avez un peu de soleil dans vos vie

moi comme ci comme ca

j'ai aussi perdu ma mere le 2 nouvembre dernier un peu plus de 2 mois apres mon fils je me serais passée de cette peine supplementaire disons

mamange Julie,

ta petite étoile filante a senti votre amour et votre présence, je n'ai acun doute là dessus...

je reprends le boulot ce matin, la vie reprend comme avant mais je n'ai pas envie que ma vie reprenne comme avant !!!!!!!!!!

nancy40 : ta maman sera auprès de ton ange pour l'éternité. il n'est plus seul...

Nous avons aussi eu à prendre la décisions de laisser aller notre petit coeur ! Quand tout a été fais et essayé !

Il faut penser pour lui et non pour nous ! Car c'est sa vie et s'il avait pu parler; il nous aurait dit merci ! Merci de m'avoir délivrer !

Mais nous sommes tous pareille des mamans lionnes qui veulent protéger leurs bébé et les garder les plus longtemps possible ! Mais c'est une souffrance pour eux et d'étérniser leur mal c'est de nous faire mal à nous encore plus !! Courage à nous tous !!!!

Pour ma part j'ai du prendre cette décision alors qu'il n'était pas encore née, afin de lui épargner une vie de souffrance (il avait une malformation au coeur). L'affaire c'est que dans l'utérus il etait comme un poisson dans l'eau, sa malformation n'avait pas de conséquence sur sa croissance, son rytme cardiac, sa psychomotricité, il avait l'air tout à fait normal et je le sentais bouger autant que les autres.

Ça été aussi très pénible de prendre cette décision surtout qu'il y avait des intervention chirurgical possible.... mais à quel prix....

On en est même venue à sentir très coupable parce que ce n'était pas un bébé qu'on avait désirer et ça nous a pris un temps avant de se faire à l'idée qu'on allait l'avoir. On se dit qu'on ne lui a p-e pas envoyer assez d'onde positive..... au fond c'est un vrai badluck!

En tk j'imagine que ça doit être terrible de devoir les laisser partir alors qu'ils sont là.... ouf!!!! C'est possiblement ce que j'aurais vécu si j'aurais mis ma grossese à terme. Par contre vous avez la chance de d'avoir des souvenir avec eux et vous pouvez vous dire que vous avez tout essayer.

Vos petits anges sont de vrai combatant et vous l'êtes aussi!