Ciboulette7
Nombre de messages : 137 Localisation : La Prairie, Qc Je suis : Maman de Ange(s) : Bébé ange miracle, Bébé ange voyageur, Bébé ange égaré Décédé(e) à : 17 semaines de grossesse, 6-7 semaines de grossesse, 7 semaines (GEU) Le : 12/06/2009, 09/10/2009, 24/11/2010 Date d'inscription : 26/12/2009
| Sujet: Longue et triste histoire de mon projet bébé Lun 17 Mai - 13:52 | |
| Il y a quelques mois déjà que je visite et participe un peu aux forums notamment comme essayeuse mais je n'avais jamais encore vraiment raconté mon histoire parce qu'elle est longue et que je devais avoir le courage de l'écrire. Alors voilà je me lance, mais soyez averti, elle est longue, c'est presque un roman!
À l’été 2005 on commence les essais bébé avec enthousiasme. Après un an d’essais infructueux on commence à se poser des questions : Pourquoi ça ne marche pas???. On attend encore six mois avant de consulter en clinique de fertilité, chez Procréa en décembre 2006. On fait les tests de base : tout semble beau. Mes cycles sont un peu irréguliers, mes ovaires doivent être un peu paresseux, donc je commence à prendre du Sérophène pour booster mes ovulations.
Après un an d’hormones dans le tapis (avec tous les désagréments que ça implique), toujours pas de grossesse. Je suis tellement découragée! Je passe alors une hystérosalpingographie (test assez désagréable) pour m’assurer que je n’ai pas les trompes bouchées : tout est beau de ce côté là. On consulte ensuite pour débuter les inséminations et le médecin glisse dans la conversation que j’ai le syndrome des ovaires polykystiques mais sans trop m’expliquer de quoi il s’agit. Il est confiant pour les inséminations. Je reprends un peu espoir car j’ai l’impression que j’essaye quelque chose qui a plus de chance de fonctionner. Je continue donc à prendre du Sérophène, je passe une échographie d’ovulation, tout est ok, j’ai des follicules prêts, je me fais une injection pour déclencher l’ovulation, je reviens ensuite recevoir l’insémination et encore le jour suivant pour mettre toutes les chances de notre côté. Je refais ce processus 4 fois, toujours pas de grossesse. Là je commence vraiment à perdre espoir, je pleure chaque fois que mes maudites règles arrivent, j’en veux à la vie de me mettre autant de bâton dans les roues. Chacune des grossesses qui arrivent autour de moi sont de grandes injustices, mais rien n’y paraît car comme je n’ai pas parlé de mes problèmes d’infertilité (sauf à quelques amies), on ne sait que je souffre à chaque fois qu’on me demande : Et vous c’est pour quand? Il faudrait s’y mettre.
Le médecin me dit alors qu’il faut me faire une laparoscopie exploratoire, pour s’assurer que tout est vraiment correct au niveau de l’utérus et des ovaires. Je n’ai pas envie de me faire opérer mais bon, qui veut la fin veut les moyens! Il me faut attendre six mois pour avoir mon tour. Six long mois qui me semblent interminables et que j’ai l’impression de perdre. Enfin le jour de l’opération arrive au milieu de février 2009. L’intervention se déroule sans problème et on ne me trouve RIEN! Dès mon réveil je me trouve dans un état de nausées sévères, le moindre clignement de paupière me vire le cœur à l’envers. On me garde plus longtemps que prévu mais je réussi à quitter le soir même. Arrivée à la maison, je me réfugie dans la salle de bain, assise sur le plancher, la tête appuyée sur la lunette des toilettes. Je reste ainsi un bon moment et fini par avoir des vomissements de bile puisque je n’ai rien mangé depuis 24 heures. Suite à l’opération on m’a donné des anti-inflammatoires à prendre pour une semaine. Dès le lendemain, je commence à avoir des douleurs à l’estomac. Je ne suis plus capable de rien avaler. Je cesse les médicaments mais le mal est fait, je me tape une gastrite. Cette semaine là je perds 13 lbs car je ne peux rien manger.
J’ai rendez-vous dans six semaines, on est rendu à commencer les démarche pour la F.I.V. mais surprise! j’apprends en mars que je suis enceinte!!! Je n’y comprends rien mais je suis trop heureuse. ENFIN!!! Après 4 ans d’attente la chance me sourit. Ma grossesse vient à peine de commencer que je remarque un matin que j’ai un très léger spotting. Ça se reproduit encore le lendemain et le surlendemain aussi. J’appelle chez le médecin mais on me dit que ça arrive parfois et tant que ce n’est pas une grosse perte de sang, il n’y a rien à faire. Je suis super inquiète, j’ai un mauvais pressentiment. Un autre matin, je découvre un peu plus de sang alors je me précipite aux urgences. Je n’en suis qu’à six semaine de grossesse mais on réussit à de diagnostiquer un décollement de placenta. Repos forcé jusqu’à nouvel ordre. Les semaines passent et j’ai l’impression que ça va mieux. On entend le cœur du bébé et on me permet de marcher un peu dans la maison. À la treizième semaine je passe l’échographie de clarté nucale. On voit le bébé et c’est très émouvant. Tout semble normal et le décollement s’est résorbé, on ne le voit plus du tout! Tout va si bien que mon médecin veut me retourner au travail. Comme ça me stresse vraiment, je réussi à faire prolonger un peu mon congé.
Jeudi 11 juin 2009 (16 semaines et 7 jours de grossesse)
En après midi j’ai commencé à avoir de plus en plus de crampes mais pas très douloureuses, pas plus que des crampes menstruelles normales. Elles ne duraient que quelques secondes. Comme elles ne semblaient pas s’arrêter, j’ai commencé à m’inquiéter et à penser aller à l’hôpital. En même temps, j’essayais de me convaincre que je m’énervais pour rien. Vers 18h30 j’ai eu chaud et j’ai décidé d’aller prendre une douche. Quand j’en suis sortie et que je commençais à m’habiller j’ai senti que je perdais du liquide. J’ai eu tout de suite le réflexe d’essayer de le retenir mais je me suis vite rendue compte que dès que je desserrais les muscles le reste allait suivre. Je me suis alors rendue à la toilette et j’ai perdu le reste du liquide. Environ une tasse d’un liquide brunâtre, en tout. Je paniquais. J’ai tout de suite appelé mon conjoint pour qu’on se rende à l’hôpital. Le trajet paraissait très long et mes crampes s’intensifiaient. Arrivée à l’hôpital je me suis fais examiner assez rapidement. Mon col était encore fermé mais un peu effacé. Il n’y avait pas beaucoup de sang alors elle nous a dit que c’était bon signe, que j’avais peut-être encore un décollement. Il fallait que je fasse une échographie mais à cette heure là il n’y avait plus de spécialistes. Elle a dit que je devrais retourner à la maison et revenir le lendemain matin pour l’écho. J’étais très inquiète et je ne voulais pas retourner à la maison. Je savais que j’avais perdu le liquide amniotique et je ne pensais pas que le bébé pourrait survivre si on ne faisait rien. La médecin essayait de nous rassurer dans la mesure du possible mais elle voyait bien qu’on était vraiment anxieux. Elle a donc décidé d’essayer d’écouter le cœur du bébé avec le doppler. On n’entendait que mon cœur. La peur a monté d’un cran et elle a alors décidé de faire une écho avec la machine de l’urgence mais nous a bien avertie qu’elle n’était pas spécialiste et qu’on ne pourrait pas trop se fier à ce qu’on allait voir. On a vu clairement le bébé mais même après cinq minutes de recherche, pas moyen d’apercevoir le battement de son cœur. Je savais qu’on aurait dû le voir… Les larmes me sont venues aux yeux, mon conjoint aussi. La médecin de l’urgence nous a dit qu’elle essaierait de trouver mon médecin (celle qui suivait ma grossesse), car elle était de garde, pour lui demander si elle aurait le temps de me recevoir ce soir là pour une écho. Quand la médecin est sortie de la salle, Mon conjoint et moi, nous nous sommes effondrés. Nous pleurions ensemble, complètement anéantis. J’ai senti comme un trou se former dans ma poitrine comme si j’avais eu les poumons perforés. J’avais l’impression que l’air passait tout droit à travers moi. Personne ne nous avait confirmé la mort du bébé mais on savait. La médecin de l’urgence est revenue nous dire que mon médecin avait acceptée de me recevoir au pavillon de naissances et qu’on m’y transfèrerait dès que j’aurais passé quelques prises de sang et que j’aurais reçu un vaccin WinRho car mon sang est O négatif et que je pourrais développer des anticorps au sang du bébé s’il est positif. Je me lève et m’aperçoit que j’ai perdu du sang sur la table. Je vais tout de suite à la toilette pour changer de sous-vêtement et me rhabiller. Je perdais pas mal de sang. Mes crampes me faisaient de plus en plus mal et venaient à toutes les minutes.
Un préposé est ensuite venu me chercher en chaise roulante pour m’amener au pavillon des naissances. Je me suis couchée sur le lit à côté de la machine d’échographie et je devais attendre que ma gynéco arrive. Elle était en plein accouchement. Je ne sais plus combien de temps on a attendu mais ça m’a paru très long. J’avais de plus en plus mal et Mon conjoint ne savait pas quoi faire pour m’apaiser. Il est sorti de la pièce pour essayer de trouver une infirmière mais il est tombé sur la gynéco et elle est immédiatement venue. Elle a fait l’écho et je ne voulais pas trop regarder mais finalement je n’ai pas pu m’en empêcher. On voyait vraiment très mal car je n’avais plus du tout de liquide amniotique et que le bébé était bas. Elle a pris les mesures de sa tête et de sa jambe et elles indiquaient que le bébé avait cessé de vivre vers la fin de la 14ième semaine ou le début de la 15ième semaine. Il était donc mort depuis environ deux semaines, quelques jours seulement après qu’on ait pu entendre son petit cœur à notre dernier rendez-vous de suivi. La gynéco m’a ensuite fait un examen et mon col était encore fermé malgré la puissance de mes contractions. Elle m’a donc expliqué qu’ils me donneraient un médicament pour me soulager et un autre pour faire ouvrir le col, en plus d’un antibiotique car comme le bébé était mort depuis un bout de temps, j’avais des risques de faire une infection. Si le médicament pour dilater le col ne fonctionnait pas j’allais devoir avoir un curetage. Elle m’a dit qu’ils allaient me préparer une chambre et venir me chercher pour tout ça. Mes contractions étaient alors aux 30 secondes et c’était à la limite du supportable. Après une quinzaine je n’en pouvais plus. On m,a enfin donné une chambre.
Les douleurs sont vite devenues insupportables. À chaque contraction, je gémissais et je pleurais. Je trouvais que l’infirmière prenait son temps pour tout organiser et surtout pour me donner le médicament qui allait me soulager. Elle a finalement pu me donner le Démérol avec un médicament pour les nausées. Elle m’a aussi installé un soluté avec des antibiotiques. Ça a pris quelques minutes avant de sentir un peu de soulagement. J’ai eu des nausées et je me suis sentie étourdie. L’infirmière me pressait des débarbouillettes humides sur le front et dans le cou, et elle essayait de m’apaiser un peu. Il fallait maintenant attendre que je sois vraiment soulagée pour me mettre un truc sur le col qui allait le faire dilater. Quelques minutes plus tard l’interne est revenue avec l’infirmière pour procéder. L’interne m’a donc examinée et s’est rendue compte que m’on col s’était dilaté seul et elle a même dit qu’elle pensait avoir touché la main du bébé. L’infirmière m’a donc examinée à son tour et a confirmé que le bébé était tout près. Elle a vite mis un piqué entre mes jambes, elle est allée le chercher avec ses mains et l’a déposé sur le lit entre mes jambes. À ce moment, on était rendu vendredi et il était 12h50. L’infirmière est ensuite allée chercher la gynéco ainsi que du matériel : lampe, ciseaux, etc. La gynéco s’est assise au pied du lit, elle a coupé le cordon ombilical et déposé le bébé dans un haricot de métal. L’interne a demandé si je voulais le voir mais la gynéco me l’a tout de suite déconseillé. Comme il était mort depuis deux semaines, il parait qu’il était tout mou et pas très beau. Je lui ai alors demandé si je pouvais au moins savoir si c’était un garçon ou une fille. Elle a vérifiée et m’a dit que c’était un petit garçon. Elle m’a dit que si je changeais d’idée et que je voulais le voir elle allait le garder quelques minutes. J’ai demandé à mon conjoint s’il l’avait vu, lui. Il m’a dit non alors j’ai décidé de ne pas le voir, question de m’éviter de futurs cauchemars. Pendant tout ce temps je ne pleurais pas, je me sentais comme ailleurs. Même si j’avais pleinement conscience de ce qui était en train de se passer, mes émotions étaient comme gelées. Ma tête s’était occupée de couper tous les liens avec mon cœur pour que je puisse endurer tout ça. Ensuite, il a fallu s’occuper de mon placenta qui n’était pas sortit. Une partie se trouvait dans mon vagin et la gynéco a réussi facilement à l’enlever. Ensuite elle a dû utiliser un spéculum et aller gratter vigoureusement pour essayer de décoller la partie qui restait dans mon utérus. C’était douloureux et ça n’a pas fonctionné. Elle m’a donc dit qu’ils allaient me donner un médicament pour faire continuer mes contractions pour que je réussisse à expulser mon placenta. Si ça ne fonctionnait pas, j’allais devoir avoir un curetage. Avec les contractions qui revenaient j’ai recommencé à avoir plus mal et on m’a donné un autre médicament pour la douleur. Les étourdissements sont revenus et repartis assez rapidement. Une trentaine de minutes plus tard j’ai expulsé le reste du placenta. Je devais maintenant attendre le lendemain matin pour avoir une échographie et s’assurer qu’il ne restait plus de débris. L’infirmière ma proposé des calmants pour dormir mais j’ai refusé. Elle m’a caressé mes cheveux et m’a dit une phrase que je n’oublierais jamais et que je me répète chaque jour depuis : Il y a un petit ange qui est passé trop vite dans ta vie…
Le lendemain, quand je suis sortie de l’hôpital, j’ai vraiment réalisé tout ce qui venait de se passer… J’ai passé le mois qui a suivi à pleurer, à rester enfermée dans ma chambre et à refuser de voir ou de parler à qui que ce soit à par mon conjoint. On venait de m’enlever ce que je désirais le plus au monde, ce pour quoi j’avais mis quatre ans d’énergie avant de pouvoir l’obtenir et on me l’arrachait cruellement… J’ai ensuite lentement émergé, plus pour les apparences au début et finalement on se rend compte assez vite que même si pour nous la vie semble s’arrêter, elle continue tout de même à tourner. La tristesse était immense mais mon conjoint à été tellement bon avec moi, je n,ai sait pas comment il a fait pour me soutenir de la sorte. Pour nous changer les idées, on décide alors de s’organiser un voyage en Europe. Les préparatifs m’occupent, j’essaye de regarder en avant. On part donc à la mi septembre, nous prévoyons visiter Barcelone, Carcassonne, la Provence, Venise, Vienne, Salzbourg, Munich et finalement Paris. Au début du voyage, j’apprends que je suis de nouveau enceinte!!! Trois mois seulement après la perte de mon ange. Ce n’est pas croyable! Je me dis qu’enfin la vie essaie de rétablir un peu la justice. Je suis heureuse mais aussi inquiète. Je suis à des milliers de kilomètres de chez moi et j’aurais voulu passer des tests rapidement et commencer à prendre de l’aspirine de bébé, mais bon, je me dis qu’il me reste 2 semaines avant de revenir chez moi. Le voyage se passe bien, tout est incroyable, la vie est belle…tellement belle que mon conjoint demande ma main au sommet de la tour Eiffel! Je suis à Paris, enceinte et mon conjoint me demande en mariage… c’est le plus beau jour de ma vie. Cet après-midi là, en visitant le Louvre, je commence à avoir des crampes que je connais trop bien. On retourne à l’hôtel, je me couche et me promet de ne plus bouger jusqu’à notre départ deux jour plus tard. Je commence à perdre un peu de sang, c’est le début de la fin, je le sais.
Je fais finalement ma fausse couche le jour de mon retour, dans le ciel entre Paris et Montréal. Je suis écoeurée…Je ne vais même pas à l’hôpital à mon retour, je n’ai pas le goût de revivre ça. Je ne dis à personne que j’ai fait une fausse couche car ils ne savent même pas que j’étais enceinte, et il me semble que tous le monde à hâte de nous voir pour qu’on leur parle de notre voyage et que je me vois mal leur annoncer mon malheur. Je me tais donc et souffre en silence. Je suis certaine d’avoir fait une dépression après cet évènement mais comme je n’ai pas été consulter, je n’ai pas eu de diagnostique. Je ne suis pas encore retournée travailler mais je commence depuis deux mois environ à me sortir un peu de la noirceur. Une chance que les préparatifs du mariage ont su quelques fois me changer les idées. Je n’ai jamais cessé les essais pour un bébé espoir, et me voilà maintenant ici après cinq ans de projets bébé déçus. Je retourne consulter en clinique le mois prochain et espère ardemment que ma longue histoire ait finalement une belle fin. | |
|
Invité Invité
| Sujet: Re: Longue et triste histoire de mon projet bébé Lun 17 Mai - 14:14 | |
| Je suis sincerement désolée
Je suis de tout coeur avec toi
Simbala mamange de Charly |
|
mon anges
Nombre de messages : 3734 Age : 44 Localisation : france Je suis : Maman de Ange(s) : mon fils B. mon petit homme
et
de 4 petites étoiles filantes Décédé(e) à : 40 sa infarctus du placenta
8 sa 13 sa 9 sa 6 sa
Le : pour mon fils c'était en octobre 2009
1999 2004 2008 2010
Date d'inscription : 30/11/2009
| Sujet: Re: Longue et triste histoire de mon projet bébé Ven 21 Mai - 16:25 | |
| bonjour ciboulette je viens de lire ton histoire et je suis triste de te lire je t'ai toujours connu dans la section des essayeuses mais je suis contente que tu puisse enfin partager ton histoire mais tu sais je veus toujours y croire du plus profond de mon coeur et je suis sur qu'un jour nous l'aurons notre bébé espoir en bonne santé accroche toi pensées a tes petits anges | |
|
ewi
Nombre de messages : 782 Age : 43 Localisation : Paris Je suis : Maman de Ange(s) : Rachel et Petite Plume perdue Décédé(e) à : 30 SA et 8-9SA (découvert à 11SA) Le : 24/11/2009 (IMG), 01/07/2011 (aspiration curetage) Date d'inscription : 29/12/2009
| Sujet: Re: Longue et triste histoire de mon projet bébé Mar 25 Mai - 14:29 | |
| Ma belle, Je ne viens presque plus dans la section des témoignages, car c'est trop difficile... Mais aujourd'hui, comme par "hasard", je passe par ici et je vois ton histoire ! J'espère que d'écrire, de partager t'a fait du bien et t'a rapporté un peu de soulagement. C'est tellement triste de te lire et très dur de chercher des mots de réconfort et d'encouragement, après tant de déception. Mais malgré tout, je veux quand même croire que la vie t'apportera de la vie ! Tu es une belle maman pleine d'amour et de tout mon coeur je te souhaite d'être comblée et heureuse. Voilà un beau mariage que vous avez devant vous Tu as de la chance d'avoir un homme solide à tes côtés et je me réjoui pour cela avec toi ! Garde espoir, garde confiance, ton tour viendra ! Gros bisous Sarah-Anne | |
|
isabela70
Nombre de messages : 2461 Age : 53 Localisation : Lévis Je suis : Maman de Ange(s) : Carolane qui s'est envolée le 22 décembre 2009 a 17h26 et de bébé 2 qui nous a quitté le 31 mars 2008 06h15...Et bébé 3 le 1 Oct Décédé(e) à : Carolane (17 semaines et 3 jours de grossesse)
Bébé 2 (10 semaines et 3 jours de grossesse)
bébé 3 (7 sem ) Le : 22/12/2009, 31/03/2008. oct 2011 Date d'inscription : 06/01/2010
| Sujet: Re: Longue et triste histoire de mon projet bébé Mer 18 Aoû - 22:03 | |
| Prend bien soins de toi
Je pense très fort à toi
Isabelle xxx | |
|